Racines
« Avant d’être quelqu’un, on est de quelque part » (Brigitte FOSSEY)
„C’est lorsque nous sommes éloignés de notre pays que nous sentons surtout l’instinct qui nous y attache“ (CHATEAUBRIAND)
« C’est l’air natal qui sèchera tes larmes » (Pierre-Jean de BERANGER)
« Combien j’ai douce souvenance Du joli lieu de ma naissance ! » … (François-René de CHATEAUBRIAND – Le montagnard exilé)
« Deux mille ans de labeur ont fait de cette terre un réservoir sans fin pour les âges nouveaux… » (Charles PEGUY)
« Je donnerais tous les paysages du monde pour celui de mon enfance » (Emil Michel CIORAN)
« L’identité n’est pas donnée une fois pour toutes, elle se construit et se transforme tout au long de l’existence » (Amin MAALOUF)
« Le patois, c’est comme une musique qui vous viendrait du passé et qui vous chanterait les générations oubliées … j’aime bien la musique » (Hugues DOURIAUX – extrait de La Renarde)
"Les Bretons ont chanté leur vie à pleine gorge ou à voix de complainte, pour exalter la joie ou endormir la peine. Ils s'accompagnaient de chansons du berceau à la tombe et toutes les circonstances étaient bonnes pour improviser un véritable journal en couplets" (Pierre Jakez HELIAS)
« Le véritable lieu de naissance est celui où on a porté la première fois un coup d’œil intelligent sur soi-même » (Marguerite YOURCENAR)
« On ne naît pas Breton, on le devient, à l’écoute du vent, du chant des branches, du chant des hommes et de la mer » (Xavier GRALL)
« Pour bien aimer un pays il faut le manger, le boire et l’entendre chanter » (Michel DEON)
« Quand mes sabots retombent sur ce sol de granit (la Bretagne), j’entends le son sourd, mat et puissant que je cherche en peinture » (Paul GAUGUIN)
« Quand on débarque dans la vie active, on se trimbale avec les bagages de ses parents. Et puis, on lâche les valises de son passé pour faire les siennes » (Emmanuelle BEART)
« Quand tu ne sais pas où tu vas, n’oublie jamais d’où tu viens » (Proverbe togolais)
« Si la Bretagne était une femme, on l’entendrait chanter »
« Tous les pays sont beaux du moment qu’ils sont nôtres et il est bon que chacun fasse estime de celui qui le nourrit » (George SAND)